Et voilà ! Une bougie en plus sur le gâteau de ma vie.
26 ans ! J’ai l’impression que c’était hier que je fêtais mon quart de siècle et en fait, non. Hier, j’ai commencé à préparer mon gâteau pour ma soirée de demain soir.
Voici un petit résumé de ce qui s’est passé en un an :
- J’ai rencontré du monde
- Et je m’en suis séparé d’autant
- J’ai eu ma licence en information-communication
- J’ai raté le concours à un master à la dernière épreuve (quelle bande de c***)
- J’ai eu beaucoup doutes
- J’ai rencontré A. sur une péniche (le 15 avril exactement) et je me le coltine toujours
- J’ai failli virer de bord (ouf, je m’en suis rendu compte, pas trop tard)
- J’ai quitté mon ex-camarade de classe et le blog qui allait avec
- J’ai créé mon propre blog, à mon image (et au vue des statistiques, vous l’aimez de plus en plus)
- J’ai changé trois fois de coupes de cheveux (à croire que je ne supporte plus les cheveux d’un mètre de long)
- Et maintenant, j’ai un balayage (ce ne sont pas des mèches et ce n’est pas blond)
- Je me suis lancé des défis culinaires (et vous n’avez pas fini d’en entendre parler)
- J’ai appris plein de choses, pas forcément les meilleures
- Ma vie familiale a changé (et cela n’est pas fini)
- Je suis ENCORE ET TOUJOURS célibataire (mais qui sait ?)
- Si mes souvenirs sont bons, j’ai ramassé deux râteaux (en mode silence, c’est plus lâche)
- Super Bounty m’a fait de belles frayeurs, mais la bébête est toujours là
- Super Kim’s aussi (c’est le super toutou)
- J’aime toujours autant le premier Homme de ma vie…
- La Meilleure…
- Et Numerobis
- Ma santé me joue des tours et punaise ce que c’est énervant
- J’ai souffert (merci l’Indien)
- Je me suis moquée, beaucoup trop et je continue (merci A.)
- J’ai goûté un bulot et je n’ai vraiment pas aimé
- J’ai plus de cheveux blancs, mais je les traque
- Je me suis trompée sur pas mal de personnes
- Très important : on ne dit pas PAR CONTRE, mais EN REVANCHE (ça rend plus intelligent aux yeux des autres)
- Je tente en ce moment ma chance à trois diplômes différents, qui n’ont pas de rapport entre eux
- J’ai mes entrées dans un lieu parisien (c’est cool)
- J’ai un taff bourré d’avantages (comme voir des concerts, vous aviez remarqué)
Il s’en est passé des choses ! Je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer. On se retrouve dans un an pour un autre bilan !
Je vous laisse, j’ai des bougies à aller souffler !
D’habitude, ce n’est pas mon genre de chanson, ni de sonorité. Mais que voulez-vous ? Je n’arrête pas de la fredonner, j’aime les nuances de sa voix et elle est beaucoup mieux que l’originale, chantée par Coldplay. Pour l’écouter, c’est à la minute 2’47 !
La version complète, mais moins bonne à mon goût (et l’acoustique n’est pas terrible).
Je pensais avoir tout vécu avec les Jonas Brothers, avoir traversé monts et marées, rampé dans la boue jusqu’au cou. Eh bien NON, chers lecteurs ! Il y a mieux ! Il y a Tokio Hotel (hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii). Wouhouh ! Ça décoiffe (n’y voyez aucune allusion au chanteur et à son ancienne coiffure. Maintenant, c’est plutôt gominé ET bombé).
Honnêtement, j’appréhendais le futur mal de tête, mais je savais à quoije m’exposais.
C’est parti !
Première partie, un DJ qui a fait se trémousser toutes les minettes, telle une boîte de nuit pour mineurs ! Un grand bravo à la demoiselle à la rambarde du balcon, qui portait une jupe courte et dont on voyait clairement le haut de ses bas (selon l’angle, à mon avis, pas que le haut des bas) et qui portait des lunettes de soleil. Ca sert toujours, surtout dans le noir complet (ne jamais sous-estimer la puissance des rayons nocturnes) !
Deuxième partie, Ô joie, un groupe français, qui chante en français, mal qui plus est ! Durant les balances, le chanteur se prenait pour une rock star « j’entends pas la guitare ! Non, on entend pas assez ma voix ». À la limite, ne pas entendre ta voix n’aurait pas été une grande perte. Pour être plus concrète, ce groupe essaie de surfer sur la vague des BB Brunes, sauf qu’ils en sont encore loin !
Et enfin, le meilleur, la pièce de résistance comme aiment le dire les Anglo-saxons (et en français dans le texte s’il vous plait). Tokio Hotel et sa chanteuse son chanteur androgyne énigmatique, Bill Kaulitz (Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii). Qu’il était beau dans son costume de scène, une sorte de combinaison noire avec d’énormes épaulettes brillantes. Waouh ! Je vous passe les trois mots en français et tout le reste dans un anglais à hacher au couteau ! Allons directement aux choses sérieuses, la musique. Ils partaient déjà avec un handicap : l’allemand (ma bête noire au collège et au lycée). Une fois qu’il était possible de faire abstraction des cris hystériques des minettes en émoi, on arrivait à distinguer des semblants de chansons. J’aimerai pouvoir vous dire que c’était bien ou pas, mais franchement, je n’y arriverai pas. J’ai mis le cerveau sur off, j’étais un peu à l’ouest, j’entendais, j’ai essayé de me concentrer parfois, mais sans grand succès. Ça fait mal aux oreilles (chansons + cris) et puis c’est tout.
Au moins, point de vue scénique, il y avait un peu de recherche : grosse boule en acier qui s’ouvre en deux et des passerelles qui viennent s’ajuster plus tard. Toujours ça de pris, mais on est loin du Johnny Hallyday !
Je finirai en précisant qu’ils n’ont pas rempli Bercy, seulement 10 000 places vendues. Tokio Hotel enfin sur le déclin?
PS : je ne sais pas si vous avez déjà tenté de dompter des filles qui s’injectent de l’adrénaline pure directement dans les veines, mais ce n’est pas facile.