Moi je dirais qu’il y en a qui sont sacrément doués, mais qu’il suffit de trouver la faille pour les démasquer : le petit sourire, le regard…
Pour le Dr Cal Lightman, c’est tout simplement un jeu d’enfant, non pas de mentir, mais de détecter le mensonge.
Sur les conseils de mon ancienne collègue de stage R., je me suis lancée à l’assaut d’une nouvelle série : Lie to me. Je n’ai, pour l’instant, regardé que le pilote. Je n’ai qu’une chose à dire : extra. Ce fameux docteur joué par Tim Roth se base sur la gestuelle et les mimiques. À chaque fois que quelqu’un ment, la caméra ralentit, zoome ou fait un arrêt sur image pour que nous puissions comprendre comment. Je vous assure, vous ne regarderez plus les gens avec qui vous papotez de la même manière. Pour le coup, vous suivrez des enquêtes non pas à la Grissom avec le kit d’empreintes, mais vous serez ciblés sur les interrogatoires (but du jeu).
Qu’est-ce que je peux vous dire de plus ? Qu’il y a un personnage qui ne dit que la vérité et ce qu’il pense. Au moins, il est cash et loin d’être moche ! Nous nous demandions avec R., si une telle unité (oui, parce qu’il a créé une sorte d’agence spécialisée dans la détection de mensonges) pouvait exister réellement ? En tout cas, le principe d’analyse des gestes et des réactions fonctionne, c’est certain. Et c’est très intéressant en plus.
En définitive, regardez cette série, elle en vaut le détour. C’est original… Votre entourage vous demandera pourquoi vous le scrutez comme cela.
Petit rappel des faits : sur feu l’ancien blog, j’avais proposé un vote pour mon prochain article. Les choses sont passées, ont changé, bref. J’avais proposé comme sujet les hommes, les voitures, le cinéma et le maquillage. Résultat, une grande partie d’entre vous a voté pour les hommes. Comme c’est bizarre ! Et j’avais promis que j’écrirai un truc sympa sur eux, alors…
Bon soyons honnêtes, on ne peut pas dire que j’ai été super gâtée avec la gent masculine, surtout d’un point de vue sentimental. Dire que je suis déçue jusqu’à la moelle osseuse serait un euphémisme. Bref. Un jour, au détour d’une émission de télé et d’un blog, vous rencontrez deux hommes qui vont vous apporter beaucoup dans votre vie.
Précision : à l’heure actuelle, un seul en était capable, c’est le premier homme de ma vie.
J’ai rencontré A. à cette fameuse émission. Et pour vous donner une idée, en fin de soirée, tout le monde croyait qu’on se connaissait depuis des années. C’est dire ! Je ne savais même pas qu’il y avait des hommes comme ça, toujours crue à une utopie.C’est un ami absolument incroyable, sur qui vous pouvez compter, d’une sincérité inouïe. Vous savez, celui qui vous prête une épaule, une oreille, voire un morceau de t-shirt pour vous moucher !!! Bah c’est lui. Je n’en reviens toujours pas. J’ai réussi à me dévoiler plus qu’avec quiconque (pas entièrement non plus, on ne va pas exagérer), j’ai compris qu’il aura toujours le mot juste et qu’il ne dira pas ce que vous voulez entendre.
Merci à toi A. d’être là.
Ma deuxième rencontre fut avec M.G., lui, rien avoir avec le précédent ! Je ne partage pas les mêmes choses, on est focalisé cinéma, Arts, musique, concert et psychologie. Il m’a surpris par son sens de l’observation : comment découvrir à 5h du matin les facettes cachées de ceux qui vous entourent ? Munissez-vous d’un M.G. (j’ai l’impression de parler d’une arme) et vous en ressortirez plus éclairé ! Celui-là, vous pouvez lui proposer le tour du monde en 5 jours, il ne refusera pas !
Merci à toi aussi d’être là pour rendre le tout encore plus palpitant.
Certes, j’ai défini certaines de vos spécificités, mais vous vous les partagez aussi.
En définitive, sur les 450 mecs rencontrés, 2 sont sortis du lot (j’exagère un peu niveau statistiques, par contre, niveau survie de l’humanité…). Est-ce qu’ils me donnent de l’espoir ? Oui, un peu, surtout pour le côté amical. Comme on dit « jamais deux sans trois », en espérant que le troisième sera focalisé sentimental.
Oui, finalement, il y a des hommes sensationnels dans ce bas monde qui vous redonnent le sourire. Je sais que mes camarades féminines ne me diront pas le contraire, surtout pour celles qui sont casées.
Parce que je l’ai vu en IMAX et que j’ai failli avoir une crise cardiaque, parce que la sortie approche et que je suis comme une grande gamine devant son jouet préféré, parce qu’il est impossible de le rater :
Pour la critique en avant-première, c’est ici mes amis!
Il y a un peu plus d’un mois, mon cher et tendre M.G. (il adore que je le caresse dans le sens du poil) m’a fait découvrir un groupe de grunge-hard-rock : Shaka Ponk avec leur chanson Fonk Me. Originale la chanson, très sympa le clip.
C’est tout naturellement qu’il m’a proposé de l’accompagner à leur concert à l’Élysées Montmartre le 03 juin (rappel : Élysées Montmartre = Panik).
Première partie : Matthieu Mendès. Comment vous dire… Tout simplement sous le charme. Une voix qui transporte, des chansons en anglais qui font rêver, pourtant, moi et le romantisme, c’est loin d’être mon truc. Mais là, je ne sais pas. MA-GNI-FI-QUE. Je l’ai connu avec sa chanson « J’en sais rien », je l’ai redécouvert avec sa prestation acoustique avec son pote Adrien en tant que batteur. Que dire de plus ? Si ce n’est que j’ai eu l’impression d’écouter un copain en concert : très à l’aise devant le public, sympa, du rythme. Matthieu, j’attends ton album !
Niveau plat de résistance, du lourd ! Shaka Ponk ! À première vue, les SHKPNK (c’est d’eux, pas de moi) sentent l’américain à plein nez: du son américain, des chansons en anglais, un look d’ado (ou presque) et là… Ô surprise ! Ce sont des français ! Attendez, vous êtes sûrs ? Oui.C’est possible qu’un groupe français grunge puisse faire d’aussi bonnes chansons ? Faut croire. Bon.
Frah (le chanteur) se donne à fond et ce n’est rien de le dire, il était trempé ! Ils nous ont joué 20 morceaux ! Limite deux albums ! Sur scène, outre le fait que cela bouge dans tous les sens, au milieu, un écran rond avec des images dynamiques, des vidéos et bien sûr leur SUPER mascotte GOZ ! J’adore, moi aussi je veux un singe comme ça !
Pourquoi vous ne pouvez pas passer à côté de Shaka Ponk ? C’est très simple, musique rarement écoutée en France, vous ne pouvez pas rater la battle entre Ion (le batteur) et Goz, beaucoup d’énergie, proche du public. Et puis, autant en profiter avant qu’ils ne deviennent (trop vite) connus, enfin… je dis çà, je dis rien.
Trois dernières choses : super bémol pour le pogo géant. Le groupe est écolo. et anti drogues (quand je vous disais qu’il sortait du lot). Sinon, je ne sais pas où ils se fournissent niveau batteur, mais Adrien et Ion sont à croquer les filles !
À défaut d’écouter la face A, vous pouvez aller lire la face G. ici :
« En 2009 dans l’univers de l’électro-rock, il y a les Shaka Ponk et les autres…
C’est certainement ce que tout spectateur qui les a vus en live doit se dire, et Pixiel les a vus lors d’un fantastique concert à l’Elysées Montmartre le 3 juin. »